Pouvons-nous regeler l’Arctique ?

Il n’est pas nécessaire de comprendre la science pour comprendre le changement climatique et l’Arctique

Je ne suis pas vraiment un scientifique. En fait, je n’en suis pas un du tout. Je suis un écrivain et un blogueur sans papier. Au lycée, je n’étais pas passionné par la chimie, la physique ou les mathématiques, parce que mes notes n’étaient pas très bonnes. Je les ai trouvés tellement ennuyeux mentalement et sans inspiration. Disons simplement que les sciences appliquées, ce n’est pas vraiment mon truc. Cependant, j’aime voir ce que la science peut accomplir. Des percées médicales aux innovations technologiques conçues pour économiser l’énergie, la science a apporté beaucoup de bien à notre monde.

En raison de mon affinité avec le monde de la science et de ma passion pour la sauvegarde de notre planète bien-aimée (pour nous sauver nous-mêmes), j’essaie de me tenir au courant des nouveaux développements de la recherche en ce qui concerne le changement climatique. Récemment, quelque chose a attiré mon attention sur National Geographic, donc, bien sûr, j’ai dû bloguer à ce sujet. Selon l’article, « Une équipe de scientifiques de l’Université d’État de l’Arizona a proposé un plan fou pour sauver la glace de mer qui rétrécit dans l’Arctique. Ils suggèrent qu’en construisant des millions de pompes à eau éoliennes sur la calotte glaciaire polaire, nous pourrions reconstituer et épaissir la glace chaque hiver.

Les conséquences du changement climatique : la fonte des calottes glaciaires de l’Arctique

L’une des conséquences du changement climatique est la fonte des calottes glaciaires de l’Arctique. La banquise arctique passe par des étapes chaque année. Pendant l’hiver, la glace s’épaissit et s’étend, puis fond pendant l’été. Cependant, en raison de l’incidence du réchauffement climatique, la taille des calottes glaciaires a diminué. De toute évidence, la glace a fondu plus qu’elle n’a gelé.

La couverture de glace de l’Arctique a diminué à un rythme inquiétant - environ 13 % tous les dix ans. Et, cela peut même empirer !

Les scientifiques proposent que si de l’eau est pompée à la surface de la glace, un mètre d’épaisseur peut être reconstitué chaque hiver, ce qui pourrait ralentir considérablement l’érosion de la calotte polaire.

Les chercheurs ont déterminé que leur stratégie ne couvrirait que 10 % de l’Arctique et nécessiterait 10 millions de pompes, ce qui permettrait de pomper 27 tonnes d’eau par heure.

« Cette eau doit être pompée à l’aide de sources d’énergie locales, ce qui, dans l’hiver arctique, signifie utiliser le vent », écrivent-ils. « Heureusement, le vent est abondant dans l’Arctique. »

Ce projet, avec son nombre étonnant de pompes, coûterait environ 650 millions de dollars. Je sais! Ce serait ridiculement coûteux et extrêmement difficile à exécuter. Mais même si nous entreprenions ce projet, ils ont souligné que CE NE SERAIT TOUJOURS PAS SUFFISANT pour lutter contre les problèmes du changement climatique anthropique.

Honnêtement, je félicite ces scientifiques d’avoir même proposé ce projet, même si tous les détails n’ont pas encore été complètement élaborés. Il initie une discussion. Une discussion sur le changement climatique dont nous ne nous lassons jamais.

Des projets comme celui-ci ne font que rendre plus flagrant le fait que la bataille contre le changement climatique doit être menée longtemps et durement. Et, bien que nous ayons tous un rôle à jouer en passant au zéro papier, en réduisant notre empreinte carbone et en menant une vie plus respectueuse de l’environnement (comme je l’écris toujours sur ce blog sans papier), le problème est plus grand que nous . NOUS avons permis à ce problème de s’aggraver et de devenir quelque chose de plus grand que nous . Il ne s’agit plus d’un combat individuel ni même d’un combat communautaire, mais d’un combat MONDIAL, dont l’ampleur ne doit pas être négligée. Le monde a besoin d’ouvrir les yeux et de voir qu’il s’effondre peu à peu à ses pieds. Et continuera de le faire si des changements massifs ne sont pas apportés et mis en place. Les pays et leurs dirigeants, les organisations mondiales et leurs investisseurs. Tout le monde, et je veux dire TOUT LE MONDE, doit s’unir pour vaincre ce démon climatique. Si un projet de 650 millions de dollars ne peut pas en faire assez, pouvez-vous imaginer combien de travail il nous reste à faire ?

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